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SOS Fibre Optique

Attention : la fibre optique arrive sur notre territoire communal et le secteur. Il faut rester prudent et patient. Sur Pluduno, la fibre commence à arriver dans certains foyers et le processus va se poursuivre courant 2024 : les délais ne sont pas les mêmes quartier par quartier.
A date, Evitez les démarchages abusifs en termes de souscription tant que vous n'êtes pas éligibles (raccordables) ! Votre Mairie et l'ARCEP vous guident. Re-découvrez la conférence "La Fibre chez vous" ci-après !!.
L'ouverture à la commercialisation peut intervenir environ trois mois après la fin des travaux sur votre secteur ou votre rue. Vous pourrez ensuite souscrire un abonnement à la fibre.

Environnement

Conférence Fibre 031123 – Présentation publique

  • Novembre 2023
  • Français
  • pdf
  • 1 Mo
Transcription textuelle

Conférence publique "La Fibre chez vous" Pluduno 03112023

Attention aux démarchages abusifs ou frauduleux !!

Il faut faire preuve de vigilance car des démarchages abusifs ont lieu. En effet, tant que, à votre adresse personnelle ou professionnelle, la fibre n’est pas arrivée, vous n’avez pas de démarches à effectuer et il ne faut pas souscrire un abonnement qui serait inadapté voire abusif. La carte ARCEP ci-dessous vous guide pour savoir quand votre logement ou votre entreprise est équipée.

Tapez votre adresse et dès lors que “le bouton est vert” vous serez en état “déployé (raccordable)” ; donc vous pourrez contacter votre fournisseur d’accès internet ou un concurrent pour amener la fibre dans votre logement ou votre bâtiment. Des travaux intérieurs (câblage, équipements…) peuvent être nécessaires pour rendre la fibre fonctionnelle. Des entreprises locales sont aussi identifiées et peuvent vous accompagner, vous conseiller.

Contact Mairie :

contact@pluduno.fr

02 96 84 13 79

Question-réponse

Comment un détenu est-il suivi après sa sortie de prison ?

Vérifié le 20/01/2021 - Direction de l'information légale et administrative (Première ministre), Ministère chargé de la justice

Des mesures de contrôle sont imposées à la personne condamnée qui sort de prison avant la fin de sa peine, via un des dispositifs suivants :

Ces mesures limitent la liberté de la personne condamnée et l'empêchent de vivre normalement. Exemples :

  • Limitation des déplacements
  • Obligation de suivre des soins
  • Obligation de se présenter au commissariat à certains moments
  • Obligation de retourner à la prison à certains moments

La personne condamnée à une peine de suivi en milieu ouvert peut aussi faire l'objet de mesures de contrôle. Par exemple, la personne condamnée à un sursis avec mise à l'épreuve ou la personne condamnée à un suivi socio-judiciaire.

De plus, la personne condamnée pour des crimes graves peut être soumise, à la fin de la libération conditionnelle ou du suivi socio-judiciaire, à une surveillance de sûreté. Cette mesure peut être renouvelée sans limitation dans le temps.

La personne condamnée peut être inscrite dans un fichier :

  • Elle est inscrite au FIJAIS si elle a été condamnée pour infractions sexuelles (viol, attouchements...) ou violentes (torture et actes de barbaries...). Ce fichier permet le suivi et la localisation des personnes condamnées après leur sortie de prison.
  • Elle est inscrite au Fijait si elle a été condamnée pour actes de terrorisme.

 À noter

la victime peut s'adresser au juge délégué aux victimes pour être tenue au courant lorsque la personne condamnée sort de prison.

Des mesures de contrôle sont imposées à la personne condamnée qui sort de prison, mais qui doit exécuter une peine de suivi en milieu ouvert. Par exemple, le sursis probatoire ou le suivi socio-judiciaire.

Les mesures de contrôle prises dans le cadre de la peine de suivi en milieu ouvert imposent à la personne condamnée des obligations et interdictions qui limitent sa liberté. Exemples :

Des obligations peuvent aussi être imposées à la personne condamnée qui a bénéficié de réductions de peine. La durée de ces mesures et équivalente à la durée de la réduction de peine dont la personne a bénéficié. Ceci dans le cadre d'un suivi post-peine ou d'une surveillance judiciaire.

Ainsi, la personne peut être soumise à des mesures de surveillance et de contrôle, et à des obligations plus ou moins contraignantes. L'étendue de ces mesures dépend de la gravité de l'infraction commise et de la durée de la peine de prison initialement prononcée.

Pour les crimes les plus graves (meurtre, viol...), la personne condamnée peut faire l'objet de mesure de contrainte supplémentaires, après le suivi socio-judiciaire et la surveillance judiciaire. Elle peut être placée en rétention de sûreté ou être soumise à une surveillance de sûreté.

Ces 2 mesures peuvent être renouvelées sans limitation dans le temps.

La personne condamnée peut être inscrite dans un fichier :

  • Elle est inscrite au FIJAIS si elle a été condamnée pour infractions sexuelles (viol, attouchements...) ou violentes (torture et actes de barbaries...). Ce fichier permet le suivi et la localisation des personnes condamnées après leur sortie de prison.
  • Elle est inscrite au Fijait si elle a été condamnée pour actes de terrorisme.

 À noter

la victime peut s'adresser au juge délégué aux victimes pour être tenue au courant lorsque la personne condamnée sort de prison.

Pour en savoir plus